lundi 30 janvier 2012

L'équipe-nuage

D'après des recherches de Cloud Team.

jeudi 26 janvier 2012

Dédicace 2

Angoulême, splendeur et misère. Et misère...

mercredi 25 janvier 2012

Structures

D'après des recherches architecturales de Anton Marcus Pasing.

lundi 23 janvier 2012

Dreams are my reality

Ma compagne fait de drôles de rêves. Je vais probablement en utiliser des bouts.

samedi 21 janvier 2012

Action comics 2

Il y a deux jours, une personne répondant au doux nom de "anonyme" a laissé un commentaire sur la différence de manière d'aborder le découpage d'une séquence d'action entre a BD et le cinéma. Ce qui a fait vagabonder ma pensée sur l'éternelle question de l'écoulement du temps. Le problème qui me fait toujours transpirer, c'est qu'il n'y a pas de mouvement en BD. Ainsi, lors d'une séquence d'action complexe, comprenant précisément beaucoup de mouvements, chaque information nécessite une case pour être transmise au lecteur. Toute la difficulté consiste donc à rendre la lecture fluide et absolument claire en un minimum de cases, à jouer avec le rythme, en variant les cadrages, les suspensions de temps sur des détails, la taille et la forme des cases, tout en prenant le moins de place possible dans le livre, puisque dans un format européen, je ne peux me permettre de diluer sur cinquante pages comme les japonais avec leurs deux informations par page. Ainsi, l'écoulement du temps de l'action est souvent disproportionné par rapport au rythme de lecture de la page. En d'autres termes, le lecteur tourne rapidement cinq pages de BD (c'est-à-dire beaucoup!), pour quelques secondes de temporalité du récit. Le comics américain apporte souvent une réponse particulière, qui consiste à ne montrer qu'une courte série de grandes cases, avec de grands pavés récitatifs qui racontent généralement tout autre chose, ce qui crée une intéressante double temporalité de lecture. Miller porte le système à son apogée. Le cinéma n'a pas ce type de problème. Bien sûr, certaines grandes séquences d'action découpées rigoureusement à l'ancienne, sans bla bla numérique, du genre des poursuites en camion ou en char d'assaut dans Indiana Jones 1 et 3, prennent beaucoup de temps à l'écran et ont dû casser la tête des story-boarders, mais l'apparition de la caméra portée (et aujourd'hui la caméra virtuelle) permet en fait de filmer de l'action frénétique en un seul plan, je pense à Shining, ou au formidable (faux) plan-séquence de 4 minutes dans Children Of Men, ce qui, en terme de découpage pur, est bien plus économique. Si l'on devait reproduire cette dernière séquence en BD en gardant le même nombre d'informations, elle exigerait un album complet de 80 pages. Hitchcock (Marnie) ou Fritz Lang (Secret behind the door) savaient même installer de puissants moments de pure tension en un seul long plan résolument fixe et pesant, par le simple mouvement des personnages dans le cadre et une pointe de musique. Très compliqué de trouver un équivalent en langage BD, puisqu'à chaque déplacement des protagonistes devrait correspondre une nouvelle case. Bon, à l'opposé, on peut se rassurer en se disant qu'un long plan contemplatif avec un personnage traversant un paysage est très chronophage au cinéma alors qu'une seule belle case suffit en BD. Ceci sans compter la puissance poétique et évocatrice du dessin. Bref, je lâche le fil de ma pensée. C'était juste pour souligner une fois de plus les énormes différences de langage entre cinéma et BD, contrairement à ce que l'on entend d'habitude. N'oublions jamais que le cinéma se subit, alors que la BD se lit.

vendredi 20 janvier 2012

Florentin comme il faut

Toujours à la recherche du jeune arriviste. D'après un tableau de Filippino Lippi. Je ne me lasse pas du dessin en bas à droite. C'est rare.

mercredi 18 janvier 2012

Action comics

Les pages 48 à 53 sont une longue séquence d'action. Découpage toujours compliqué. Et très codé.

samedi 14 janvier 2012

Petits coquins...

...ou comment on démontre qu'une phrase change complètement de sens une fois sortie de son contexte...

jeudi 12 janvier 2012

Belatar

Portrait en haut à gauche à partir d'une petite image d'un film de Bela Tar dans un numéro du magazine Positif qui traînait. Avec quelques affinements, il fera un parfait médecin un peu charlatan mais plein d'humanité. J'aime bien que les gens avec des têtes inquiétantes ne soient pas de parfaits salauds. (Ce sera aussi le cas avec le Pr. Rajeev...) Celui-ci s'appellera-t'il Docteur Belatar? En tout cas, il aura les yeux intégralement noirs.

mercredi 11 janvier 2012

Titien

Un détail d'un tableau du Titien.

dimanche 8 janvier 2012

Gummi

J'ai reçu ça à Noël. Clin d'oeil à Churchill. Il y en a toute une série qui représente les principaux animaux en voie d'extinction sous forme de gommes. Merveilleusement ironique, non?

jeudi 5 janvier 2012

Bien comme il faut

Silice s'en est allée avec un autre. Je vais bientôt avoir besoin de lui, alors comme d'hab', j'essaie des trucs.

mardi 3 janvier 2012

Globigérine

Une extension de la note "parthénogénèse" du 1er juillet dernier. Page 45, l'histoire avance, les explosions changent.

dimanche 1 janvier 2012

2012

Hop, un bout de moteur de fusée Diamant pour fêter la nouvelle année!