vendredi 22 avril 2011

Roman russe


Le nom de Woland vient du roman de Boulgakov, Le Maître et Marguerite, qui lui-même l'a emprunté au Faust de Goethe, d'après ce que j'ai compris. Chez Boulgakov, c'est un démon, voire le diable en personne. En tout cas, c'est un personnage démiurgique et manipulateur doté de pouvoirs inquiétants. Ma vieille dame est à priori pleine de bonté, mais elle tente elle aussi de contrôler et transformer le monde. Je m'arrête là. Et en allemand, Woland fait aussi penser à l'étranger, à celui qui ne se fixe jamais.

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